Nos amis Les Clochards poilus, menacés d’expulsion.
Le refuge pour les chiens « Les clochards poilus » à Tabanac (33550) est géré depuis plusieurs années déjà par une association dépendant de la fondation Emmaüs avec comme mission : de recueillir les chiens errants ou abandonnés dont la plupart sont amenés par les communes environnantes, adhérentes de l’association, ou encore ont été recueillis dans le cadre d’opérations de sauvetage menées par « 30 millions d’amis » lorsque d’autres chenils sont fermés ! Les toutous sont alors pris en charge, examinés, soignés, vaccinés, selon les cas. L’objectif étant de faire ensuite que les animaux soient adoptés par des personnes désireuses d’avoir un animal de compagnie et là il faut bien reconnaître que les adoptions se font de plus en plus rares ! En moyenne une cinquantaine de chiens sont accueillis de façon permanente ce qui nécessitent l’emploi de quatre personnes ? Dont une à temps plein. Car le refuge des Clochards poilus a aussi comme mission accueillir des personnes en grandes difficultés sociales, souvent sans abri, qui peuvent elles aussi trouver un refuge en étant hébergées dans la maison située sur le site du refuge. Ces personnes choisies par la Fondation Emmaüs s’impliquent dans les activités du refuge, trouvent un certain réconfort dans la compagnie des animaux, reprennent ainsi confiance en elles. D’autres associations, tellel’association des Traumatisés crâniens, viennent aussi effectuer des journées au refuge et découvrent le bonheur de travailler avec les chiens.
Le refuge aujourd’hui menacés ?
Aujourd’hui l’inquiétude est grande chez les responsables du refuge des Clochards poilus. En effet le bail signé pour trente ans avec le propriétaire des lieux arrive à échéance. Or ce propriétaire qui souhaitait auparavant vendre son terrain à l’association a changé d’avis et veut maintenant tout simplement le récupérer ! Il est vrai qu’il a constaté de visu l’immense travail effectué pendant des années par les bénévoles et salariés de l’association : réhabilitation complète de la maison d’habitation, défrichage et entretien des espaces qui étaient en friche, assainissement des habitats pour toutous, etc, etc…Donc après cette constatation il a certainement estimé qu’il serait plus rentable pour lui de conserver son bien largement revalorisé !
L’inquiétude est grande, mais l’association des Clochards Poilus est bien décidée à se battre et à faire valoir qu’elle remplit une véritable mission de service public non seulement vis-à-vis de nos amis les chiens, mais aussi en tant qu’entreprise de réinsertion et de création d’emplois !
Contact : Domaine des Barthes 33550 Tabanac tél : 05.56.67.00.43
KOKOPELLI. « Association pour la libération de la semence et de l’humus »
Communiqué :Avaaz : un écran de fumée occultant les bombes libératrices à uranium appauvri.
L’association KOKOPELLI a décidé de présenter un article d’investigation concernant l’organisation Avaaz, rédigé par Dominique Guillet et posté sur son site Liberterre (1)– car nous sommes scandalisés qu’une pétition en défense de KOKOPELLI ait été présentée, sans notre consentement, par cette organisation militariste Cette pétition, de plus, colporte des informations complètement erronées. Depuis plusieurs mois, nous ne cessons d’informer nos amis et clients que nous n’avons pas été condamnés par la Cour Européenne de Justice à stopper nos activité, que nous ne sommes pas fermés, que nous continuons d’exister et que nous continuons de distribuer des semences.
Par la même occasion, nous dénonçons tout autant l’opacité de l’organisation Change-org qui, elle aussi, a mis en ligne une pétition concernant KOKOPELLI sans notre accord. Ces sites pétitionnaires sont une gigantesque farce : Dominique Guillet, en utilisant une fausse adresse e-mail et un pseudonyme, a lancé une parodie de pétition adressée au directeur de Change.org pour demander que la pétition pour sauver KOKOPELLI soit supprimée! Cela prouve amplement le niveau de non sécurisation de Change.org- Une organisation basée à San Francisco, employant plus de 100 salariés et mettant en ligne 500 nouvelles pétitions tous les jours. La première question fondamentale que l’on doit se poser : quels sont les gentils financiers qui rémunèrent plus de 100 salariés chez Change.org ? L’un de ces gentils financiers est l’incontournable milliardaire prédateur Georges Soros, évoqué dans l’article de Dominique sur AAvaz, car Change.org fait partie de Media Consortium, un pseudopode de l’empire Soros. Change.org et Aavaz partagent la même opacité quant à leur finalité intrinsèques ; d’ailleurs, Ben Wikler, le directeur de campagne d’Avaaz vient de devenir vice-président et directeur exécutif de Change.org.
Quel est l’objectif de toutes ces pétitions – prétendument destinées à sauver KOKOPELLI- dont le premier effet collatéral est de semer le doute, dans le public, quant à notre capacité de continuer notre travail de libération des semences et d’exister ?
Nous remercions tous les amis de KOKOPELLI de faire circuler ce communiqué.
(1) www.liberterres/meta-mafia/avaaz.htlm
crédit photographique : Yolande Schoenmakers.
Le frelon asiatique, espèce nuisible.
Au grand soulagement des apiculteurs, les ministères de l’agriculture et de l’écologie ont mis en œuvre une procédure de classement comme espèce exotique envahissante et comme espèce nuisible le frelon asiatique. L’inscription du frelon asiatique dans la liste des dangers sanitaires a été publié au Journal Officiel du 28 décembre 2012.Ceci va permettre a l’autorité administrative de définir des actions de surveillance, de prévention et d’envisager une lutte globale de ce fléau.
Le frelon asiatique est arrivé en France en 2004 niché dans les cales de bateaux en provenance de Chine ! Il s’est d’abord propagé dans le Sud Ouest et rapidement à envahi de nombreux départements français ce qui a provoqué une surmortalité des abeilles, qui n’avaient pas besoin de cela déjà tellement elles étaient déjà fragilisées par les pesticides agricoles !
Les campagnes de piégeage devraient se multiplier.
Deux méthodes pour lutter contre les frelons : la destruction des nids, et, l’installation de pièges avant l’éclosion et les invasions estivales. Le piégeage commence, en principe, dès le mois de février !